Pendant toute la campagne de pêche, ils habiteront sur l’île, un des quais portera leur nom « quai des Paimpolais », les îliens se contenteront du poisson de palangre.
Le ramassage et le convoyage des crustacés se faisaient sur des bateaux plus gros munis de viviers qui appartenaient à des mareyeurs (système des homardiers anglais).
La présence des Paimpolais sur l’île va contribuer dans une large mesure à l’extension des activités langoustières du Cap sizun. Aux environs de 1885, une véritable flottille de Capistes, de Camarétois, de Douarnenistes et de Paimpolais exploita les fonds de la chaussée de Sein (hauts fonds d’Armen).